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Date de création : 28.04.2012
Dernière mise à jour :
02.12.2025
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La dernière fois que Jean-Marie Le Pen a été vu à La Trinité-sur-Mer, c’était juste avant Noël, assis au premier rang dans l’église. On enterrait son copain Alain Bellec, l’autre célébrité née dans ce petit port du Morbihan. Ils s’étaient connus gamins. Bellec n’était pas encore devenu chanteur à succès sous le nom d’Alain Barrière. Le Pen se prénommait encore Jean tout court. C’était avant qu’il accole ses premier et deuxième prénoms et parte faire de la politique. Bellec remplissait l’Olympia depuis des années quand Le Pen tentait encore de structurer son Front national. Il était revenu ouvrir sa boîte de nuit, Le Stirwen. Les filles Le Pen, Marie-Caroline, Yann et Marine, venaient y danser dans leur adolescence. Marine, il arrive de la croiser au Carrefour City pendant les vacances. Sur le port, on aperçoit parfois la fille de Yann, Marion Maréchal. On a aussi vu réapparaître celles qui avaient été bannies de La Trinité, Pierrette, la mère qui avait posé nue dans Playboy, et Marie-Caroline, l’aînée qui avait trahi lors de la scission du FN. Elles se relaient dans la maison où Jean-Marie Le Pen est né en 1928. Pas loin du monument aux morts où figure le nom de son père à lui, Jean, patron pêcheur, tué en 1942 quand le filet de son chalutier a remonté une mine.
Emmanuel Macron a salué vendredi la mémoire du chanteur Christophe, décédé à l'âge de 74 ans, évoquant un "artiste singulier qui nous a emportés dans ses fulgurances poétiques et sonores". "Avec lui, nous criions Aline, nous disions les mots bleus, nous pleurions les paradis perdus", rappelle le communiqué de l'Elysée publié quelques heures après la mort de ce grand nom de la chanson française décédé "des suites d'un emphysème" dans un hôpital de Brest. La présidence salue en particulier "la délicatesse et l'idéalisme éthéré de ce dandy qui ouvrageait ses chansons en esthète", ce "romantique invétéré qui a signé parmi les plus belles chansons d'amour du répertoire français", comme "Les Mots bleus" ou "Aline". Ce "noctambule qui ne dormait que quand le soleil brillait (...) avait construit sa carrière comme une vague douce et un peu mélancolique sur la plage de France, allant et venant de succès en retraits, d'éclats en éclipses, de saillies en silences", poursuit l'Elysée. "Le président et son épouse adressent leurs condoléances attristées à son épouse, sa famille et ses proches, comme à tous ceux dont le cœur a tressailli à l’écoute de ses chansons", conclut le communiqué.
Un « vendredi noir » dans les transports, comme l’espèrent les syndicats des deux entreprises SNCF et RATP ? Ces derniers ont en effet appelé à un sursaut de mobilisation lors de ce 51e jour de grève d’affilée contre la réforme des retraites, et alors que le projet de système universel de retraite par points doit franchir une étape-clé vendredi avec sa présentation en conseil des ministres.
Une nouvelle fois, l’Opéra de Paris a voulu rappeler, à sa manière, son opposition à la réforme des retraites. Deux cents personnes de tous les corps de métier de l’Opéra, artistes et techniciens, ainsi que de la Comédie-Française organisaient, samedi 18 janvier, un concert devant le Palais Garnier en début d’après-midi. Une demi-heure durant, musiciens et chanteurs de l’Opéra national de Paris, qui compte 1 600 membres, ont interprété en plein air des extraits d’œuvres célèbres signées Georges Bizet ou Giuseppe Verdi, avec une Marseillaise en conclusion, devant des centaines de passants et de manifestants hostiles à la réforme.
Les opposants au projet du gouvernement n’ont pas désarmé, mardi 17 décembre. Nombre d’entre eux refusent l’idée de suspendre le mouvement pendant les fêtes, comme le leur enjoint l’exécutif.
C’est une simple planche posée contre un arbre, dans une rue pavée de la capitale. Quelques mots ont été tagués dessus, à la peinture mauve : « Y aura-t-il de la grève à Noël ? » Une semaine avant le 24 décembre, c’est l’une des questions que tout le monde se pose en cette troisième journée de mobilisation contre les retraites, qui a rassemblé 615 000 personnes dans toute la France selon le ministère de l’intérieur, 1,8 million selon la CGT.
Elle est là, dans toutes les têtes, la grande grève de 1995. Trois semaines de mobilisation contre le plan d’Alain Juppé pour réformer la Sécurité sociale et aligner les régimes de retraite du public sur le privé. Dans l’hiver et le froid, et durant le même mois, décembre. Des grèves reconductibles à la SNCF et à la RATP, des manifestations monstres, un pays bloqué, au ralenti. Le plus gros mouvement social qu’ait connu la France depuis Mai 68. Et in fine, un gouvernement qui cède, recule, et retire son projet. A vingt-cinq ans de distance, les deux situations ne sont pas comparables mais qu’importe, le souvenir du mouvement de 1995 s’impose à l’esprit. Et c’est à lui que syndicats et manifestants n’ont eu de cesse de se mesurer, tout au long de cette première journée de mobilisation contre la réforme des retraites, jeudi 5 décembre. A Paris, quand le cortège parvient enfin à s’ébrouer, avec plus de deux heures de retard, les organisateurs savent déjà que c’est gagné. « Si la manifestation prend du temps à partir, c’est qu’on est extrêmement nombreux dans les rues à Paris ! », se réjouit-on au mégaphone.
Malgré un réel plan d’actions, le nombre de pauvres est en légère hausse. Car beaucoup de mesures n’ont pas d’effet sur les revenus et ne touchent pas les plus démunis. Ni la reprise de l’emploi ni le reflux du chômage ne semblent modifier la trajectoire rectiligne du taux de pauvreté en France, désespérément stable au-dessus de 14 %, soit 8,9 millions de pauvres. Les indicateurs de pauvreté comptent parmi les plus plats, quasi insensibles aux bonnes comme aux mauvaises conjonctures. Pire, selon les estimations de l’Insee d’octobre, la pauvreté aurait augmenté de quelques dixièmes de points depuis 2017. Les simulations de l’Institut des politiques publiques sur les effets des projets de loi de finances révèlent aussi des baisses dans les premiers centiles de revenus. La politique d’Emmanuel Macron aurait-elle un impact négatif sur la pauvreté ?
Le moral économique des Français n’est pas très bon à la rentrée. C’est ce qui ressort du dernier baromètre des Décideurs Viavoice de septembre 2019, pour HEC, BFM Business et Le Figaro. Si l’indice du moral a gagné trois points depuis juillet, les Français s’inquiètent encore pour leur niveau de vie ou leur carrière professionnelle. Pour près d’un Français sur deux (49%) et près d’un tiers des décideurs, le niveau de vie en France devrait se dégrader dans les prochains mois, un chiffre en légère augmentation après une stabilité pour les mois de juin et juillet (47%). 18% d’entre eux estiment qu’il se dégradera même «nettement» Une autre grande partie des Français (33%) croit que la situation ne changera pas dans les mois à venir, un sentiment partagé par 40% de décideurs. Seules 16% de la population active croit en une potentielle amélioration, tandis que les décideurs sont plus optimistes.
Des actes "intolérables" : ce mercredi, Didier Guillaume a "clairement" condamné l'incendie volontaire qui a ravagé mardi un élevage hors sol de volailles dans l'Orne. "On peut être en désaccord. On peut avoir envie de manger de la viande ou pas manger de la viande. Ce n'est pas le sujet", a martelé le ministre de l'Agriculture devant les hangars partis en fumée dans la nuit de lundi à mardi à Normandel. Sur certains bâtiments de cet élevage, des tags "assassins", et "camp de la mort" ont été relevés. Les bâtiments étaient vides au moment de l'incendie. Selon le parquet d'Alençon qui a ouvert une enquête de flagrance, la "thèse accidentelle est exclue" dans cette affaire. "La présence d'effraction dans deux des bâtiments et la présence de tags revendicatifs sur deux des trois bâtiments permettent en l'état d'exclure la thèse accidentelle. L'enquête se poursuit pour identifier les auteurs de cet acte criminel", a déclaré François Coudert, procureur de la République d'Alençon. "Agribashing" Selon une source proche de l'enquête qui a requis l'anonymat, la thèse de l'escroquerie à l'assurance ne peut pas être exclue, même si elle n'est pas privilégiée à ce stade. Le parquet n'a pas souhaité commenter ce point. Selon la source proche de l'enquête, le préjudice se monte à plusieurs centaines de milliers d'euros et les exploitants attendaient l'arrivée de 8000 dindes et 20 000 poulets. "Il y a de plus en plus d'attaques contre les agriculteurs, ce qu'on appelle l'agribashing, qui sont inacceptables mais des actes comme celui-là dépassent les bornes", a ajouté le ministre. Des "observatoires contre l'agribashing" sont "mis en place dans plusieurs départements en France, a précisé le ministre. LIRE AUSSI >> Épandage de pesticides : la quête d'un compromis entre riverains et agriculteurs "Il y a des militants extrémistes qui veulent changer notre civilisation, changer notre société, qu'il n'y ait plus d'élevage. Sauf que [...] s'il n'y avait plus d'agriculture, que feraient les bobos des villes le week-end ? Il ne viendrait plus se promener, il y aurait des friches partout", a ajouté Didier Guillaume.